Dijon : La neuvaine à Notre-Dame commence ce samedi

Comme chaque année, la paroisse Dijon Notre-Dame lance une neuvaine au début du mois de septembre ; elle coïncide avec l’anniversaire de la libération de Dijon (survenue un 11 septembre, Ndlr). Cette année encore, la neuvaine aura bien lieu, avec un thème particulier : « Une maison pour Marie ».

Le père Emmanuel Pic, curé de la paroisse, indique : « Nous avons choisi ce thème pour inscrire la neuvaine dans le 8e centenaire de la construction de l’église Notre-Dame. Il s’agit d’ailleurs du premier événement de ce 800e anniversaire. Plusieurs manifestations et temps forts vont avoir lieu dans les semaines et les mois qui viennent. »

Une neuvaine lancée ce samedi à 17h30

Les contraintes liées à la législation sanitaire en vigueur laissent planer le doute sur la participation aux différentes dates de la neuvaine, mais le père Pic estime que la fréquentation de ces dernières semaines tend à « revenir à la normale ».

La neuvaine sera officiellement ouverte ce samedi lors de la messe célébrée en l’église Notre-Dame à 17h30. Du lundi au jeudi 10 septembre, une messe sera célébrée à 18h30 dans le cadre de la neuvaine.

50 000 cierges brûlés chaque année devant la statue de Marie

La messe commémorant la libération de Dijon, qui ouvrira le triduum marial, sera présidée par Monseigneur Minnerath, le vendredi 11 septembre à 9 heures, en présence de représentants de l’Etat, des collectivités territoriales et des anciens combattants, ainsi que des porte-drapeaux.

Samedi 12 septembre, avant-dernier jour de la neuvaine, la messe sera célébrée à 18h30 tandis que les vêpres solennelles, célébrées le dimanche 13 septembre à 18h30, marqueront la fin de cette neuvaine.

« Même s’il ne s’agit pas officiellement d’un sanctuaire marial, des milliers de personnes viennent y prier tous les ans, en attestent les 50 000 cierges brûlés chaque année devant la statue de la Vierge. Beaucoup de personnes, notamment un nombre important de touristes, viennent déposer aux pieds de Marie leurs épreuves ou leurs peines », souligne le père Pic.

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