Un nouveau directeur général pour le groupe Colysé

A quelques jours de la rentrée scolaire 2020-2021, nous avons rencontré François-Xavier Hauberdon, le nouveau directeur général du groupe Colysé (qui comprend quatre établissements scolaires dijonnais : le lycée Notre-Dame, le collège Saint-François de Sales, l’école Saint-François de Sales et l’école Alix Providence, Ndlr)

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

« J’ai 51 ans, je suis marié et père de deux enfants en études supérieures. Je suis catholique pratiquant. Par ailleurs, je suis passionné de golf et j’ai pour habitude de me lever tôt le matin afin de commencer ma journée par un temps de course à pied ! »

Quel a été votre parcours professionnel jusqu’à présent ?

« Cela fait 28 ans que je travaille dans l’enseignement privé : j’ai été tout d’abord professeur d’économie puis, il y a 13 ans, j’ai pris la tête d’un ensemble scolaire à Epinal. Ce groupe a plusieurs points communs avec le groupe Colysé, notamment le fait qu’il soit en « co-tutelle » : la tutelle de l’enseignement catholique d’une part et celle de la congrégation Notre-Dame d’autre part. »

Y a-t-il un élément en particulier qui vous a décidé à rejoindre Dijon ?

« Depuis un peu plus d’un an, je m’étais mis en disponibilité, et on m’a proposé de devenir directeur général du groupe Colysé. J’ai reçu cette proposition comme une forme d’appel, un signe de la Providence. Par ailleurs, la ville de Dijon est très attractive. Enfin, je ne partais pas tout à fait dans l’inconnu, puisque j’avais déjà rencontré les chefs d’établissement de l’école Alix Providence et de l’école Saint-François de Sales. »

Comment « prendre la mesure » d’un groupe qui compte tout de même 2300 élèves et une communauté éducative de 200 personnes ?

« J’ai besoin de rencontrer les personnes, de les connaître, de savoir comment elles voient leur mission… Il faut que je comprenne l’histoire de cet établissement, que je puisse m’acculturer à cette histoire. Ce groupe est un peu comme un gros bateau, une métaphore pleine de déclinaisons : on embarque de nouveaux élèves, on débarque les bacheliers en fin d’année, il y a un équipage de professeurs, le projet pédagogique et pastoral est un cap à suivre… »

Y a-t-il d’ores et déjà des projets, en cours ou à venir, que vous pouvez évoquer ?

« Actuellement, l’école Saint-François de Sales, du fait de sa croissance, manque de place. Or, nous avons des locaux rue des Gênois qui sont inoccupés depuis plusieurs années. Par ailleurs, toujours rue des Génois, il y a une emprise immobilière immobilière, sachant que nous manquons d’un gymnase, en particulier pour le lycée et le collège. Il y a des réflexions à engager dans les années qui viennent sur ces deux points, afin de trouver une solution… »

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